Salut
Je suis fumeuse et malade de cette maladie est ce ça un danger ??
Re: Cigarette et Huntington
Bonjour la première réponse c'est que ça coûte cher !!pour le reste chacun gère sa vie comme il l'entend donc difficile de vous donner un conseil
Je vous souhaite le meilleur possible
Je vous souhaite le meilleur possible
Re: Cigarette et Huntington
Bonjour,
mon épouse, aujourd'hui à un stade avancé de la maladie et en Ehpad médicalisé, était fumeuse. Il n'y a pas de contre-indication "biologique", elle avait besoin du tabac, un de ses derniers plaisirs, et aucun médecin ou neurologue n'y voyait un inconvénient.
Par contre, avec les difficultés motrices, sont venus progressivement les problèmes de brûlures, aux doigts, au visage, et aux vêtements.Dans certains documents édités par des associations, on trouve des " trucs" pour essayer de remédier à cela (systèmes de fume-cigarette adaptés...).
Pour faire face aux risques réels d'incendie ( cigarette échappée...), certains utilisent un environnement ignifugé (matelas, coussins...). Nous n'avons pas eu à utiliser ceci, car la règle à la maison, bien avant la maladie, avait de tout temps été: pas de tabac à l'intérieur. J’avais donc aménagé un coin fumeur sécurisé sur une terrasse couverte et bien abritée .
Un jour c'est devenu trop compliqué, et dangereux; le sevrage s'est passé sans difficulté, probablement car il a correspondu à la montée en posologie des traitements ( anxiolytique et antidépresseur).
Bien cordialement.
mon épouse, aujourd'hui à un stade avancé de la maladie et en Ehpad médicalisé, était fumeuse. Il n'y a pas de contre-indication "biologique", elle avait besoin du tabac, un de ses derniers plaisirs, et aucun médecin ou neurologue n'y voyait un inconvénient.
Par contre, avec les difficultés motrices, sont venus progressivement les problèmes de brûlures, aux doigts, au visage, et aux vêtements.Dans certains documents édités par des associations, on trouve des " trucs" pour essayer de remédier à cela (systèmes de fume-cigarette adaptés...).
Pour faire face aux risques réels d'incendie ( cigarette échappée...), certains utilisent un environnement ignifugé (matelas, coussins...). Nous n'avons pas eu à utiliser ceci, car la règle à la maison, bien avant la maladie, avait de tout temps été: pas de tabac à l'intérieur. J’avais donc aménagé un coin fumeur sécurisé sur une terrasse couverte et bien abritée .
Un jour c'est devenu trop compliqué, et dangereux; le sevrage s'est passé sans difficulté, probablement car il a correspondu à la montée en posologie des traitements ( anxiolytique et antidépresseur).
Bien cordialement.
