Placement en hepad
Ce message pour vous donner un peu d'espoir .... Mon mari a été diagnostiqué en 2018 après 10 ans de galère ... Son état c'est dégradé .....il a été hospitalisé pour réajuster ses médicaments .... A sa sortie je ne pouvais le reprendre à domicile vu mon état d'épuisement .... Le CHU a rempli un certificat pour entrer en EHPAD complètement erronée se qui m'a contraintes a le mettre en circuit fermé .... 1 mois de bataille pour trouver une structure avec une place en milieu ouvert ... Pour certains hepad l'ignorance de cet maladie leur fait peur et les réponses était négative .... Ne pas baisser les bras et se battre ... Expliquez que les malades ne sont pas fou qu'ils perdent leurs capacités physiques et intellectuelles .... Pour ma part j'ai peut-être trouver la structure qui lui convient l'avenir me le dira..
Re: Placement en hepad
Bonjour,
Merci pour le message. Vous avez raison de le dire: en tant qu'aidant, on ne baisse pas les bras et on se bat. Cela nous épuise...J'espère que la structure que vous avez trouvé se révélera la bonne et que vous trouverez un nouvel équilibre pour vous-même et pour lui. Ma belle-soeur a longtemps refusé d'aller en HEPAD et suite à un passage à l'hopital, elle a dû s'y résoudre, avec beaucoup de difficulté. Même si elle ronchonne, j'ai l'impression qu'elle apprécie un certain confort et une certaine prise en charge (son conjoint n'arrivait plus à bien s'en occuper).
Mon mari a très certainement la maladie; il refuse de se faire diagnostiquer et a donc très peu de médicament (un antidépresseur). J'assume beaucoup de choses pour lui permettre de rester à la maison. Autant dire que certains jours cela tangue (au propre comme au figuré). Je pense que la question d'un HEPAD se posera un jour ou l'autre et je commence déjà à me renseigner sur les structures qui connaissent la maladie pour être prête quand cela arrivera.
bonne journée
Merci pour le message. Vous avez raison de le dire: en tant qu'aidant, on ne baisse pas les bras et on se bat. Cela nous épuise...J'espère que la structure que vous avez trouvé se révélera la bonne et que vous trouverez un nouvel équilibre pour vous-même et pour lui. Ma belle-soeur a longtemps refusé d'aller en HEPAD et suite à un passage à l'hopital, elle a dû s'y résoudre, avec beaucoup de difficulté. Même si elle ronchonne, j'ai l'impression qu'elle apprécie un certain confort et une certaine prise en charge (son conjoint n'arrivait plus à bien s'en occuper).
Mon mari a très certainement la maladie; il refuse de se faire diagnostiquer et a donc très peu de médicament (un antidépresseur). J'assume beaucoup de choses pour lui permettre de rester à la maison. Autant dire que certains jours cela tangue (au propre comme au figuré). Je pense que la question d'un HEPAD se posera un jour ou l'autre et je commence déjà à me renseigner sur les structures qui connaissent la maladie pour être prête quand cela arrivera.
bonne journée
